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Cetonia aeruginosa au Jardin de la Salamandre en Dordogne
Cétoine
 
Lamia textor au Jardin de la Salamandre en Dordogne
Lamie tisserande
 
Phasme au Jardin de la Salamandre en Dordogne
Phasme

Quelques habitants du Jardin de la Salamandre

 

Rouge-gorge au Jardin de la Salamandre en DordogneFlambé au Jardin de la Salamandre en DordogneRainette méridionale au Jardin de la Salamandre en Dordogne 
 
Bombus terrestris au Jardin de la Salamandre en DordogneCopris lunaris au Jardin de la Salamandre en Dordogne 
Bourdon terrestre Bousier 
Hérisson au Jardin de la Salamandre en DordogneGrenouille agile au Jardin de la Salamandre en DordogneLézard vert au Jardin de la Salamandre en Dordogne
Grenouille agile
Eristalis interrupta au Jardin de la Salamandre en DordogneGryllotalpa gryllotalpa au Jardin de la Salamandre en DordogneMelasoma populi au Jardin de la Salamandre en Dordogne
Bedeguar au Jardin de la Salamandre en DordogneTettigonia viridissima au Jardin de la Salamandre en DordogneTyphaeus typhoeus mâle au Jardin de la Salamandre en Dordogne
 
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Le jardin, situé en lisière de la forêt de la Double accueille une biodiversité remarquable que l'on s'efforce de maintenir en pratiquant certaines méthodes de culture.

Le jardin est cultivé sans engrais chimiques ni pesticides de synthèse. Seule une fumure organique est apportée sur les massifs et au pied des arbres, complétée par des apports de végétaux compostés ou broyés. Le verger de variétés anciennes ne reçoit que des traitements autorisés en agriculture biologique : huile blanche de colza contre les cochenilles, soufre ou oxychlorure de cuivre contre la cloque du pêcher ou la tavelure.

Des nichoirs à insectes ou à oiseaux ont été installés. Certaines parties des toits sont accessibles aux chauves-souris. De grands tas de broussailles sont édifiés à l'automne afin de fournir des abris d'hivernage à la microfaune. Les mares sont entretenues et des bassins complémentaires ont été aménagés pour les amphibiens et les couleuvres.

Indépendamment des plantations de végétaux d'ornement, différentes espèces d'arbres et d'arbrisseaux indigènes ont été installés ou maintenus, afin de permettre l'accueil du cortège d'animaux qui y sont inféodés : prunellier pour le flambé, fenouil pour le machaon, aulne pour le tarin, etc. Une tonte est pratiquée sur certains espaces pour favoriser la venue de différents oiseaux comme la huppe fasciée.

Un élevage extensif est pratiqué sur les prairies naturelles adjacentes, qui sont pacagées ou fauchées tardivement, afin de favoriser l'alimentation ou la reproduction de la petite faune sauvage, ainsi que le semis naturel des espèces prairiales.

*se dit du chant des mésanges et des fauvettes

 

 
 

 

Le jardin de la salamandre © 2008